(Ceci est la première partie du livre : Le plan astral de Papus, et en pourpre j’ai ajouté mes
commentaires.)
L'ÉTAT DE TROUBLE ET L'ÉVOLUTION POSTHUME
DE L’ÊTRE HUMAIN
La tradition kabbalistique détermine trois phases
successives dans le phénomène de la mort et enseigne que la mort du corps
physique, suivie de la dissolution de ses éléments, ne constitue que la
première des étapes de l'évolution posthume de l'entité humaine.
(Il serait plus correct de dire : le
parcours posthume de l’être humain, parce que l’homme n’évolue pas au cours de
ce parcours posthume.)
Toutefois, aucun auteur contemporain n'a abordé, à notre
connaissance du moins, l'analyse des faits qui s'étendent depuis le
commencement de l'agonie jusqu'au moment où l'élémentaire est définitivement
constitué.
(Les instructeurs théosophiques l’ont
expliqué.
Et la Théosophie explique aussi que l’élémentaire
est le déchet astral qui reste après que l’âme humaine monte au Ciel.
À ne pas confondre avec les élémentaux qui
sont les entités subtiles qui s’occupent de maintenir les différents plans
d’existence.)
On se contente de dire que c'est là l'état de trouble et
l'on ne va généralement pas plus loin. Or cette question est d'une très grande
importance à élucider, car elle permet des déductions capitales, d'une part au
sujet de l'inhumation, de l'incinération ou de l'embaumement du corps physique ;
et d'autre part, au sujet de la réaction de l'idéal de l'être humain sur
l'avenir.
Nous allons donc nous efforcer d'exposer aussi clairement
que possible cette question, telle, du moins, que nous la concevons mais nous
n'avons pas la prétention d'avoir déterminé une définitive vérité, c'est au
lecteur de voir si nos déductions sont vraiment rationnelles. Nous avons
cependant la certitude qu'elles sont d'accord sur ce point avec la tradition
ésotérique que peu d'écrivains contemporains connaissent.
ABRÉGÉ DE LA CONSTITUTION DE L'ÊTRE HUMAIN
A l'état d'incarnation, l'homme est formé d'une masse
matérielle, animée par un principe spécial commun à toute la Nature : la
Vie, et chargée de mettre l'homme véritable, l'esprit conscient, en relation
avec le milieu matériel extérieur.
On sait toute l'importance attachée par l'occultisme à
l'étude de ce principe intermédiaire entre le corps physique et l'Esprit, à ce
principe que nous nommons, d'après Paracelse, le corps astral.
On sait aussi que ce corps astral est doublement polarisé
(comme tout principe intermédiaire) et qu'il préside à la marche du corps
physique sous le nom de vie organique, mais qu'il se manifeste aussi à la
conscience sous le nom d'être impulsif, d'homme mortel (Platon), d'inconscient
inférieur (la Kabbale), d'impulsion réflexe psycho-physiologistes, etc., etc.
Dans Je sommeil normal, dans le sommeil hypnotique et
surtout dans le somnambulisme, c'est l'être impulsif seul qui agit, les
réflexes sont tout-puissants et l'action directrice de l'esprit conscient est
abolie par rupture de l'influx nerveux. (Voire mon livre Magie Pratique, p. 60-74)
Le rôle du corps astral au point de vue purement
organique n'est pas moins intéressant, et c'est lui qui va nous donner la clef
du phénomène de la mort physique.
Les diverses cellules dont le groupement constitue le
corps matériel n'occupent leur position hiérarchiquement déterminée que grâce à
l'influence de ce corps astral.
L'affinité spéciale de chacune de ces cellules, considérée
isolément, la pousserait plutôt à fuir de ce groupement, si le corps astral ne
synthétisait, sous son influence prépondérante, toutes ces tendances
individuelles anarchiques, ne dirigeait tous les efforts individuels en vue de
l'harmonie collective que nous appelons la santé.
(Ceci est faux, le corps astral lui donne
forme au corps physique, mais maître Pastor a expliqué que ce son les élémentaux
qui s’occupent de maintenir le corps physique fonctionnel.)
Représentons par une série de petites flèches centrifuges
cette tendance originelle des cellules à l'individualisme et par deux grandes
flèches à direction centripète cette propriété unificatrice et tonalisante du
corps astral. Telle sera la représentation schématique de l'action du corps astral
sur l'organisme matériel.
Mais ce corps astral a également une action sur l'esprit
immortel. C'est grâce à l'existence de ce corps astral que l'esprit peut entrer
en relation avec l'organisme et de là avec le monde matériel extérieur c'est
grâce au corps astral que le rapport entre le Moi et le NON-MOI peut s'établir.
(Ceci est incorrect, c’est grâce a son
principe bhuddique que l'Esprit peut se connecter avec son principe mental.
Et c’est grâce a son
principe kamique que l’homme qui réincarne peut se connecter avec son véhicule
terrestre, lequel est constitué par trois principes :
- le
corps physique
- le
corps astral qui lui donne forme et
- le
corps énergétique qui lui donne vie.)
La tendance de l'esprit [manas] est également centrifuge,
l'essence de cet esprit le porte à changer d'état mais le corps astral, au
moyen de la force nerveuse, donne à l'esprit les instruments nécessaires à son
séjour dans la matière organique.
(Maître Pastor a expliqué que la force
nerveuse est associé avec le mental, non pas avec le corps astral.)
Pour représenter tout cela, nous figurerons l'esprit par
une flamme dont la tendance est toujours de monter et nous ajouterons une
flèche indicatrice pour rendre encore l'image plus claire.
Deux flèches à direction centripète représenteront le
rôle du corps astral par rapport à l'esprit.
Nous obtenons ainsi une seconde figure schématique que,
ajoutée à la première, nous indique parfaitement le rôle double du corps astral
dans l'homme incarne (A et B).
Mais, si nous voulons ne rien omettre, il ne faut pas
oublier que l'homme peuple son atmosphère astrale de tout un monde d'idées
vivantes dont l'ensemble constitue l'idéal de chacun de nous.
Cet idéal pourra être très inférieur chez une brute à
face humaine il pourra tendre au crime et à l'ivrognerie comme il pourra être
très supérieur. Peu importe, il existe, il constitue l'atmosphère astrale,
origine de la destinée, et jouera un rôle considérable dans l'évolution
posthume de la monade humaine (dans la figure c’est la partie C).
- Mais nous n'avons pas conscience
de cette atmosphère astrale ? — Me diriez-vous.
Certainement, sauf par le remords ou le pressentiment,
car elle constitue l'inconscient supérieur, le Soi de certains mystiques
contemporains.
(Ceci est incorrect, l’inconscient
inferieur est associé avec le plan astral, tandis que l'inconscient supérieur
est associé avec le plan mental.)
L'homme, le Moi, est placé entre deux inconscients :
l'inconscient organique couronné par l'être impulsif en bas, et l'inconscient
supérieur en haut.
Inutile de rappeler que ces mots de bas et de haut sont
uniquement énoncés pour figurer plus facilement cet ordre de faits. Il n'y a
pas de telles différenciations en astral.
(Ceci est faux parce que dans l’astral
existent aussi les dimensions de l’espace.)
Ainsi une volonté libre capable de porter les aspirations
de la monade humaine vers les passions et la matière ou vers le sacrifice et l'Esprit,
telle est, en résumé, la constitution de l'homme incarné.
Voyons ce que deviennent ces éléments au moment de
l'agonie avant de mourir.
DE L'AGONIE ET DE LA MORT DU CORPS PHYSIQUE
L'agonie commence au moment où la tension qui permettait
au corps astral de dominer les impulsions individuelles des cellules organiques
s'affaiblit.
(Ceci est faux, l’agonie commence au moment
où le corps physique commence à cesser de fonctionner.)
À ce moment les deux modalités du corps astral se
séparent, la modalité inférieure perd sa force de cohésion, et les cellules
organiques, reprenant leur liberté individuelle, se séparent du centre général.
C'est ce qui constitue le phénomène de la décomposition du corps physique.
Donc :
1.
Séparation des deux
modalités du corps astral
2.
Lutte du corps physique
et du corps astral, plus ou moins longue selon que l'individu est plus ou moins
matérialisé. (il serait plus correct de dire matérialiste.)
Telles sont les deux premières phases de la mort.
Mais que se passe-t-il en haut ?
Comment se comporte la modalité supérieure du corps
astral, celle qui contient la mémoire des vulgaires détails de la vie, le
principe des impulsions réflexes, celles que nous appelons : l'être
psychique impulsif (l'homme mortel de Platon) ?
Cet être psychique impulsif est lié à l'Esprit auquel il
sert d'instrument de perception et de manifestation dans le monde matériel. Il
détermine l’affinité que possédera l'entité humaine immédiatement après la
mort.
Le désir est la racine de l'être (nous enseigne le
martinisme), or le désir le plus intense qui s'est manifesté avant la mort
détermine le sens de l'impulsion donnée à cette portion de l'être humain.
Si le mourant est animé d'un grand désir de bonheur,
attend-il le ciel promis par la religion exotérique et est-il certain de le
posséder. Alors la tendance de l'être sera portée en haut et l'affinité
n'existera que pour les choses supérieures.
Au contraire l'individu se suicide-t-il, aspire-t-il de
tout son désir au néant ?
La tendance de l'être sera en bas et l'affinité
n'existera que pour les choses inférieures (infera,
les enfers).
(Ceci est faux, car si bien la dernière
pensée qu’on a avant de mourir est très importante, c’est le développement
qu’on aura atteint au cours de notre vie qui déterminera le ciel ou enfer qu’on
aura après la mort.)
Dans le premier cas l'affinité portera vers l'amour, et
la synthèse, dans le second cas vers la haine et la dissolution.
(Pas nécessairement, une personne peut être
très déprimée, mais cela ne provoquera pas sa dissolution.)
Ainsi:
1.
Agonie, dislocation des
deux modalités du corps astral. Lutte entre les cellules organiques et le corps
astral inférieur en bas.
2.
Réaction de l'être
impulsif sur l'esprit. DERNIER DÉSIR. Résultat de cette réaction.
3.
Libération de l'esprit
entouré du corps astral supérieur (être psychique), et affinité de l'entité
libérée vers le haut ou vers le bas.
Tels sont les trois stades de la première phase de la
mort ou de la première mort, car la Kabbale enseigne qu'il y a trois morts,
chacune suivie d'une nouvelle ascension.
À ce moment donc, le corps physique se décompose, relié
par un lien fluidique astral à la partie supérieure de l'être humain qui va poursuivre
son évolution.
Mais cette affinité, résultat du dernier désir, est-elle la seule cause
déterminante de l'évolution future ?
Certes non, car la Justice n'existerait plus et il suffirait
au plus monstrueux des criminels d'avoir élevé son astralité au dernier moment,
par un rite religieux pour évoluer en haut, tandis que la malheureuse victime,
frappée en état de désir non accentué, évoluerait en bas.
C'est ici qu'intervient l'action compensatrice de
l'Idéal, de l'atmosphère astrale, que nous créons incessamment autour de nous,
dans le cours de la vie. C'est là le second corps que nos désirs ont lentement
créé et qui va remplacer le corps physique que nous venons de quitter.
(Ce n’est pas l'atmosphère astrale mais
l’ensemble de notre karma et de nos skandhas qui déterminent notre destiné dans
l’au-delà et dans notre suivante réincarnation.)
L'esprit, entouré de sa portion de corps astral, vient se
confondre avec l'Idéal qu'il s'est créé.
C'est alors qu'a lieu la compensation des tendances
symbolisée par les religions exotériques sous le nom de jugement, avec cette
seule considération que la conscience dont le principe est la justice
immortelle est le seul juge et que les résultats du jugement sont mathématiquement
déterminables.
La tendance de l'Idéal créé peut être supérieure ou
inférieure. Un individu qui s'est constamment sacrifié pour les autres, qui a
généré dans le cours de sa vie des aspirations toujours élevées, a créé autour
de lui une merveilleuse atmosphère astrale à tendance purement supérieure.
Mais considérant que le dernier désir ou la dernière
action aient été en contradiction absolue avec le reste de sa vie,
qu'arrive-t-il ?
L'être dont l’affinité est inférieure, d'après le dernier
acte accompli, vient se fondre avec un idéal à tendance très supérieure et,
comme l'impulsion de l'idéal, lentement généré, l'emporte de beaucoup sur
l'impulsion du dernier moment de la vie, l'individu est sauvé par ses propres
actions antérieures.
Telle est la justification de la grande idée
pythagoricienne faisant générer l'avenir par le passé au moyen du présent.
Dans le cas actuel, nous pouvons figurer la tendance de
l'idéal par une grande flèche à direction supérieure, et la tendance de
l'individu par une petite, à direction inférieure, la résultante sera
l'ascension :
Mais considérons le cas contraire. Un criminel dont
l'astral est épouvantable, s'est repenti au dernier moment et a dégagé son
individu avec tendance supérieure. Le résultat du jugement ne varie que fort
peu. Le repentir a eu simplement pour but de rendre un peu moins rapide la
tendance à la dissolution.
(Ceci est faux, parce qu’un repentir
sincère peut sauver à cet individu, qui aura encore à payer son karma négatif,
mais il pourra le faire d’une manière constructive et non plus avec
souffrance.)
Ainsi la seconde phase de la mort consiste dans l'union
de l'individu avec son atmosphère astrale. L'esprit est ainsi revêtu d'un
nouveau corps que les Kabbalistes appellent les écorces.
Dans le cas le plus général, les individus ont de ces
écorces, retardant l'évolution définitive, et qui vont lentement se dissoudre à
la lumière astrale.
Résumons donc les trois phases de cette seconde
mort :
1.
Rencontre de l'idéal.
2.
Réaction de l'idéal sur
l'individu (jugement).
3.
Résultat de cette
réaction. Affinité supérieure ou inférieure de l'élémentaire.
À ce moment ce que la Kabbale appelle un Élémentaire est
en effet constitué ; l'être est formé :
1.
Par l'esprit immortel
supérieurement.
2.
Par le corps astral (portion
supérieure) médianement.
3.
Par les écorces
inférieurement.
De plus, le lien entre les deux portions du corps astral
existe toujours si le corps physique n'est pas tout à fait décomposé.
Avant de terminer cette partie de notre étude, insistons
sur ce fait, c'est que les tendances supérieures contenues dans l'idéal se
fondent avec la partie astrale de l'entité humaine et que les écorces ne sont
constituées que par les tendances inférieures.
Les phénomènes que nous venons d'énumérer, en nous
servant du langage et des figures purement physiques, se passent dans le plan
astral. Comment pourrons-nous représenter, toujours pour nos yeux matériels, ce
plan astral ?
Physiquement et analogiquement, le plan astral peut se
rapporter aux données astronomiques de la manière suivante :
1) La partie inférieure du
plan astral pour les habitants de la Terre est constituée par le cône d'ombre
que la Terre traîne à sa suite dans les cieux c'est là ce que Moïse appelait l'Erèbe, ce que les anciens appelaient les
Enfers (infera) ou plutôt l’entrée
des Enfers. C'est la région des élémentals inférieurs.
2) La seconde partie du
plan astral est constituée par la région sublunaire, par la sphère d'attraction
de la Terre sur la Lune, son satellite.
3) Enfin la partie
supérieure du plan astral est constituée par le champ d'attraction du Soleil
sur les planètes de son système (champ d’attraction de l’Astre Noir pour les
initiés). C'est cette région que Moise appelait Adamah si nous rapportons la tradition du paradis terrestre à notre
univers.
(Son explication est correcte mais très
embrouillée, et comparer le plan astral avec les corps célestes ce n’est pas
adéquat parce que cela confond.)
Cherchons maintenant les rapports de l'évolution de rame
avec chacune des trois régions astrales.
·
T correspond à la région
terrestre ou astrale inférieur.
·
L correspond à la région
sublunaire ou astrale moyenne.
·
S correspond à la région
solaire ou astrale supérieure.
(Voir la figure suivante.)
La première mort, la mort du corps physique, se passe dans
l'Erébe et c'est là que sont précipités les suicidés et toutes les astralités à
tendance absolument inférieure. C'est après avoir été ballottés dans les vagues
astrales de cette région que l'évolution vers la région lunaire reprend peu à
peu.
La seconde mort, la mort de dissolution des écorces, se
passe dans la région sublunaire et, de là l'Esprit revêtu de son corps lumineux
(3e corps) s'élance dans la région solaire.
(Ça c’est faux parce l’Esprit ne descend
pas dans l’astral, il permanait dans le monde divin et maintient une connexion
avec l’homme qui réincarne à travers un lien énergétique appelé l'antahkarana.)
Je renvoie au
Soleil les Ames immortelles
Dont l'Esprit
a GAGNÉ ses ailes
Pour s'enfuir
du torrent des Générations.
Autrement, au
fond de l'espace,
Je les noue à
la Femme et leur Destin repasse
Dans te jeu
de mes tourbillons
(Saint-Yves d'Alveydre, la Lune dans l'Initiation, juin
1893).
Ainsi la réincarnation ne s'effectue que pour purger
l'esprit des phlegmes persistants et ajoutons que cette réincarnation peut se
produire sur toutes les planètes habitées de notre système.
(Ceci est faux, la réincarnation s’effectue
pour que l’homme évolue et ainsi puisse rejoindre l’Esprit, et les maîtres ont
expliqué que les humains terrestres effectuent toute leur évolution sur la
Terre.)
Mais c'est là un sujet qui sortirait de notre étude,
revenons donc au sujet.
L'état de trouble s'étend depuis le commencement de
l'agonie jusqu'à la libération de l'esprit et la disparition des écorces,
c'est-à-dire jusqu'à la fin de la seconde mort. Voilà pourquoi les initiés
d'Égypte qui avaient pratiqué la sortie complète en astral, étaient appelé deux fois nés.
Pour ne pas allonger outre mesure cette étude, terminons
par deux remarques dans les suivantes chapitres du livre:
1.
L'influence de
l'inhumation, de l'incinération et de l'embaumement sur le corps physique.
2.
Les modifications
apportées dans l'astral d'un individu par un crime.
(p.1-17)
OBSERVATIONS
Papus dit qu’il s’est basé sur la Kabbale pour donner son
explication.
Je ne sais pas si la Kabbale enseigne cela, mais je
perçois clairement que Papus s’est basé sur l’enseignement théosophique. Mais
malheureusement il ne l’a pas bien étudié et c’est pour cela qu’il commet
beaucoup d’erreurs.
Les figures qu’il a mises compliquent la compréhension de son explication.
Et l’explication qu’il a donné est très réduite. Dans la
Théosophie j’ai trouvée une explication beaucoup plus profonde que j’ai mis
dans le blog.
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