Avis : j'ai écrit dans d'autres langues de nombreux articles intéressants que vous
pouvez lire traduits en français dans ces liens:
Partie 1 et Partie 2.


LES CHAKRAS ET LA KUNDALINI DES EXTRATERRESTRES




Pratiquement rien n’a été dit sur ce thème, cependant Maître Pastor, à une occasion, alors qu’il était en train d’expliquer au sujet des extraterrestres, il a fait une brève mais intéressante mention :


« Chaque humanité dans l’univers est différente, pas forcément par l’aspect, pas forcément par le nombre de chakras ou quoi que ce soit d’autre, mais par le type énergétique et les échanges énergétiques que les chakras ont entre eux, que les molécules ont entre elles et que toutes les autres notes vibratoires de l’aura échangent avec l’âme.

Ce qui fait que chaque race reste spécifique et il faut respecter cette spécificité.

De la même manière, lorsque dans une famille il existe plusieurs enfants, forcément, chaque enfant est né de son père et de sa mère, mais il est spécifique, son destin sera particulier même s’il a des ressemblances au niveau de gènes ou de l’âme ou quoi que ce soit, il est différent de son frère, de sa sœur.

Il en est de même pour les grandes familles que nous appelons cosmiques et qui sont en fait les raisons mêmes de la différenciation des humanités.

Chaque famille cosmique ou chaque foyer d’âmes est constitué par les rayons de l’univers, mais chacun de ces foyers va réclamer, pour son expression, une humanité spéciale, c’est-à-dire que les gens d’un certain rayon cosmique.

Vous connaissez les sept rayons, comme il existe les sept pouvoirs, les sept couleurs etc. Eh bien, chacun de ces sept rayons va réclamer d'un foyer d’âmes spécial. »

(Conférence du 21.11.87)




LES CRISES DE L’ADOLESCENCE ET DE LA QUARANTAINE VUES ÉSOTÉRIQUEMENT



Sur ce sujet, Maître Pastor a dit ce qui suit :

« Ce qui se passe aujourd’hui chez l’homme c’est encore très limité. Lorsque l’on regarde la vie d’un homme, on s’aperçoit qu’il a conscience de son corps de chair et de quelques émotions, et je précise uniquement de quelques émotions.

Parce que par exemple, pour qu’il prenne conscience des grandes émotions mystiques qui sont dans son cœur, il lui faut se préparer, se mettre dans un état particulier, utiliser les prières, ou l’encens, ou la méditation. Et il n’y a que par ce processus qu’il arrive à devenir conscient d’une émotion supérieure que l’on va identifier à un sentiment spirituel. Et pourtant c’est encore du monde de l’émotion, et c’est une émotion que beaucoup d’êtres humains ne connaissent pas.

Alors, considérons que si le monde des émotions n’est pas encore bien connu par l’être humain, imaginez tout ce qui lui reste encore à connaître!

Lorsque ce que l’on appelle vulgairement le sentiment religieux, c’est-à-dire le sentiment de paix et le sentiment d’être une conscience incarnée, c’est-à-dire d’être avant tout une entité à l’intérieur d’un corps, et non pas simplement d’être Pierre ou Paul ou Jacques, mais lorsque l’homme aura véritablement la sensation et la conviction intime d’être une entité de lumière à l’intérieur d’un corps physique, ce qui lui procurera des émotions beaucoup plus raffinées et qu’à ce moment-là ce seront des émotions qui seront toutes naturelles, tandis qu’aujourd’hui on les appelle des émotions mystiques ou religieuses.

Et bien à ce moment-là, l’homme pourra de façon active, individuelle et autonome travailler sur son plan astral. Ce qui fait qu’énormément de maladies pourront être évacuées, non pas parce que la médecine aura évolué, mais parce que l’homme se sera libéré d’un voile qui l’empêchait de pouvoir voir au-delà de la matière, et qui étant devenu conscient du plan astral, il pourra travailler lui-même sur ce plan.

C’est comme aujourd’hui, si vous vous faites une blessure à un endroit du corps, puisque vous voyez et sentez votre corps physique, vous avez la possibilité de le soigner vous-même, et vous pouvez poser un désinfectant et un pansement sur cette blessure. Eh bien, il y a ce même genre de blessures dans le corps astral et cependant l’homme n’arrive pas à les soigner parce qu’il ne les voit pas. Et ce ne sont pas de blessures graves, elles ne sont pas plus graves en fait que les écorchures que l’on peut se faire sur le corps physique.

Seulement il faut savoir que, comme pour le corps physique, une écorchure qui s’est faite dans le corps astral va à connaître une certaine suppuration, et si cette suppuration n’est pas soignée, elle peut devenir un abcès, et si cet abcès n’est pas soigné, il peut devenir malin.

De la même manière comme cela se passe sur le plan physique, cela se passe aussi sur le plan astral, et je veux pour preuve que par exemple, une émotion ressentie lorsqu’un individu est petit va s’accumuler à une autre émotion qui lui ressemble, puis ces deux émotions-là vont faire la paire et s’accumuler à une autre émotion qui lui ressemble, et ainsi de suite.

Et au début ce qui n’était qu’une écorchure (mais cette écorchure n’ayant pas été soignée) elle agit exactement comme une plaque sensible et elle permet à d’autres microbes et d’autres écorchures de venir se fixer. Ce qui fait qu’en quinze années d’existence seulement, voilà un adolescent qui ne va pas pouvoir se libérer de toutes ses écorchures que par une grosse crisse d’adolescence, une grande rébellion vis-à-vis des parents et de la société.

En fait ce que l’on appelle la crise de l’adolescence n’est pas un cycle naturel, “tiens mon enfant a quinze ans alors c’est normal qu’il entre dans cette crise, dans cette révolte”. Non ce n’est pas normal du tout. Simplement il y a des sas de sécurité, que ce soit au niveau de la psychologie aussi bien qu’au niveau du corps astral. Et ces sas de sécurité fonctionnent selon certains cycles.

Lorsque l’enfant a, à peu près quatorze ou quinze ans, s’ouvre pour lui une plus grande occasion de maturité, et il va falloir que son discernement s’entraîne et il a besoin d’apprendre énormément. Mais tout cet enseignement il ne peut pas le cultiver et l’intégrer que s’il se débarrasse d’un certain nombre d’écorchures, et c’est ce qui déclenche automatiquement les agissements de la révolte, ou de la colère, ou de la non- assimilation à la famille ou à la société.

En fait c’est un rejet utile, exactement comme un corps rejette les toxines par les organes éliminatoires.

Donc, chaque fois qu’au niveau affectif il y aura une accumulation de conflits, automatiquement il y aura une crise à un cycle très précis, et selon le caractère de l’enfant, il pourra être dans un mouvement d’anarchie ou de rébellion. Mais si cela n’est pas la note fondamentale du caractère de l’enfant ou de l’individu, alors cet être humain subira des crises au moment de ces cycles.

Et c’est comme cela aussi qu’un homme arrivant à la quarantaine aura plus facilement une rébellion sentimentale, un renouveau sentimental, parce que c’est à ce moment-là que se règlent les affaires sentimentales de l’homme mûr. Alors que c’est à quatorze ou quinze ans que se règlent les problèmes sentimentaux de l’enfant.

Ce qui fait que l’on s’aperçoit que l’homme est parfaitement réglé pour qu’au cours de sa vie il ait des occasions de se nettoyer. Il a spontanément des entrées en exorcisme, je dirais. De façon naturelle sa psychologie, son corps physique, son corps astral et son corps énergétique vont entrer en une phase de purification.

Et bien sûr, les gens qui entourent l’individu, ces gens-là ne vont pas comprendre, ils vont assimiler cela à un moment d’instabilité. Parce qu’il est vrai qu’il est très difficile de supporter un individu qui est en train de se nettoyer de toutes ces écorchures vibratoires. Et cependant c’est pour devenir meilleur donc il faut l’aider.

C’est l’occasion de parler avec la personne, c’est l’occasion de la faire aller au bout de ses sentiments, au bout de ses expressions, au bout de ses rejetés, de sa colère, de sa douleur.

C’est donc aussi le moment pour toute sa famille ou pour tout le milieu des amis de faire le bilan ensemble, parce que souvent si un individu accuse un tel moment de crise, c’est parce qu’aussi les autres plus ou moins, ou d’une certaine manière, l’auront poussé.

Donc chacun étant plus ou moins responsable des écorchures que l’on fait à l’autre et que l’autre subit, chacun doit participer au nettoyage de l’autre. Ce qui fait que les hommes par une chaîne d’amour, une chaîne d’entraide, ils ont parfaitement la passibilité de se libérer les uns des autres de ce qui les accable.

Mais voilà, il se fait que non seulement l’homme oublie ce cycle normal de libération des émotions et des problèmes et de la mémoire, mais en plus comme c’est un moment encombrant, il fait tout pour le mettre en silence et pour l’étouffer.

La société actuelle est constituée de telle manière que l’on va sans arrêt chercher à étouffer ce qui ne va pas, cacher ce qui ne va pas, que ce soit au niveau économique, que ce soit au niveau individuel, que ce soit au niveau affectif, à n’importe quel niveau que ce soit. Et ça c’est quelque chose qu’il faudra changer dans l’avenir pour que les hommes puissent véritablement s’épanouir dans la liberté. »

(Conférence du 11.06.90)