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Partie 1 et Partie 2.


L’ASPECT SECRET DE LA CONFESSION RELIGIEUSE





Dans une conférence, Pastor a expliqué succinctement à quoi cela servait originellement le confessionnal :

« Sans purification il n’y a pas d’avancement, et c’est pour cela que la religion a créé le confessionnal, bien que cela ait été postérieurement dénaturé avec le temps. Mais à l’origine la confession était un moyen pour que les prêtres puissent dégager de l’homme leur affectation astrale pour les péchés qu’ils ont commis.

Et ainsi l’homme ayant donné son lot de péchés, mais en tant que vibrations, et les ayant donnés au prêtre, le prêtre par sa prière arrivait à brûler le karma de l’individu. Et c’est pour cela qu’en compensation, l’individu devait dire un certain nombre de prières, parce qu’étant donné que dans cette opération l’on touche au karma et que le karma c’est une loi de compensation, il faut toujours donner quelque chose en rapport. Et dans ce cas-là, dans cette religion, c’était la prière. »
(Conférence du 11.09.86)





Et dans une autre conférence, Pastor a approfondi sur ce sujet:

« Dans le culte catholique, il y a une institution qui était très bonne quand elle était sincèrement pratiquée, et c’est l’institution de la confession.

La confession a une portée psychologique extrêmement importante. On la néglige complètement aujourd’hui parce que l’on croit qu’il faut simplement avouer ses péchés, et on ne comprend plus sa portée spirituelle. Et c’est pourquoi on se moque actuellement, mais en fait,

Quel était le but originel de la confession ?

Eh bien, originellement le but de la confession n’était pas d’aller avouer tous ses péchés. Ce n’était pas du tout ce jeu malsain entre le dévot et Dieu par l’intermédiaire du prêtre qui faisait que si le dévot reconnaissait son péché, le prêtre pouvait l’absoudre et Dieu n’y voyait que du feu.

Cela est un jeu idiot !

Peu à peu la notion ayant été perdue, on n’a plus vu que cela. Or la confession c’était quelque chose qui était pratiqué de façon complètement différente, dans un but complètement différent. Le prêtre devait recevoir en confession les ÂMES EN PEINE.

Or recevoir les âmes souffrantes et contraindre aux dévots à avouer ses péchés c’est complètement différent.

Forcement avec le temps et avec la progressive dégradation du catholicisme, et avec l’infiltration dans l’église des prêtres de moins en moins illuminés, le but originel s’est déformé.

Les nouveaux prêtres exigeaient que les âmes confessent leurs péchés, parce qu’ils considéraient que si l’âme était en peine, c’était nécessairement parce qu’elle avait péché, mais le détail est que celui qui se confesse, il ne va pas nécessairement éprouver de la peine pour avoir péché, or les premiers prêtres ne voulaient absolument pas recevoir les confessions des gens de cette façon-là. Ils attendaient simplement que les âmes en peine puissent venir se soulager.

Et c’est pour cela que l’absolution fonctionnait et que l’absolution a été instaurée, parce qu’à partir du moment où une âme se sentait suffisamment en souffrance pour éprouver le besoin de se confesser, cela voulait dire que cette âme devait être soulagée, libérée du karma de la chose, libérée donc du cliché qui l’hantait dans sa mémoire.

Et à ce moment-là, le prêtre avec des formules consacrées avait le pouvoir de libérer la mémoire de ce cliché, de libérer donc l’âme de cette hantise qui malgré toute la bonne volonté de l’individu, lui faisait toujours retomber dans des automatismes qui en fait, le faisaient stagner dans son destin, or sans cette purification il ne peut pas y avoir d’avancement.

La confession était donc pour les prêtres, une façon de dégager le plexus de l’homme, de le dégager de son astral. Et ainsi l’homme ayant donné son lot de péchés, mais en tant que vibrations, les ayant donné au prêtre, le prêtre par sa prière arrivait à brûler le karma de l’individu.

Et c’est pour cela qu’en compensation, l’individu devait dire un certain nombre d’Ave ou de Pater. Parce qu’étant donné que lorsque l’on touche au karma et que c’est une loi de compensation, il faut toujours donner quelque chose en rapport. Et dans ce cas-là, dans la religion catholique c’était la prière. 

L’absolution est donc le moyen qu’avait le prêtre d’éliminer ses clichés et de bruler un karma qui avait été suffisamment vécu et compris par l’individu, mais qui était encore empreint comme cliché dans la mémoire psychologique.

Et ce cliché-là l’homme n’a pas forcément la capacité ni la force de le retirer lui-même, car la mémoire est une pellicule extrêmement sensible, extrêmement fragile et même si l’homme a la bonne volonté et fait énormément d’efforts, la mémoire étant extrêmement fragile, parfois elle n’arrive pas à se refaire après un traumatisme, et c’est là où le prête, où le culte vient et permet la cicatrisation.

Et à partir de ce moment-là, l’individu se trouve véritablement libéré, car vous qui êtes disciples, vous vous dites j’ai changé. Il y a dix ans je pensais d’une manière différente, ou j’avais peur de telle chose, ou j’étais rendu timide par telle chose et aujourd’hui je sens que j’ai fondamentalement changé, j’ai évacué ce trauma ou ce complexe.

Mais il se trouve que si vous restez simplement au niveau de votre seul effort personnel, vous vous apercevrez très vite que par moments (dans les moments de faiblesse surtout) il y a encore la cicatrice qui apparaît. Et que même si vous croyez vous être débarrassé complètement par exemple de la timidité au moment où vous vous y attendez le moins, il y a une énorme timidité qui surgit.

Vous ne comprenez plus et vous vous dîtes : « pourtant je croyais avoir éliminé cette chose ». C’est vrai que vous l’avez éliminée, mais il y a une cicatrice dans la mémoire psychologique et dans la mémoire des réincarnations.



Aujourd’hui on ne confesse plus personne, et de toute façon la confession n’est plus du tout vécue comme elle a été instaurée originellement, donc elle ne servirait à rien. Même les prêtres ne savent plus pourquoi ils pratiquent l’absolution, parce qu’ils ne connaissent pas cette force originelle qui a été déposée dans leur culte.

Alors, aujourd’hui il y a les psychologues, il y a les sophrologues, ou tout simplement le voisin qui est assez patient et réceptif pour comprendre et pour aider. Tout cela c’est bien, c’est vrai, mais il faut que l’individu qui écoute dispose soit d’un certain pouvoir vibratoire, soit de certaines clés qui sont tout simplement des mots, mais des mots institués par une église pour pouvoir absoudre l’individu et effacer dans la mémoire le cliché qui le torture.

Et si vous vous trouvez dans cet état, allez voir le prêtre et demandez-lui de vous donner l’absolution, même si vous ne lui dites rien, simplement demandez-lui l’absolution, et vous par votre acte conscient, vous pourrez diriger l’énergie où elle a besoin d’aller»
(Conférence du 6.11.88)






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