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COMMENT AIDER LES MOURANTS ?



Comment aider efficacement une personne qui va quitter la terre ? Il y a très souvent lutte entre les cellules physiques qui désirent continuer une vie autonome et l’âme qui aspire à la libération. Pouvez-vous nous donner des indications claires sur ce processus qui nous paraît souvent entravé par les méthodes de la médecine actuelle ?

Il est vrai que mourir à l’heure actuelle, si on est entre les mains de la médecine, cela devient une véritable épreuve d’adresse pour l’âme qui doit se dégager. Et ceci n’est pas une critique contre la médecine. Elle a aussi une connaissance à acquérir. Culpabiliser quelqu’un ne sert à rien. Il faut lui donner les moyens d’avancer et de comprendre.

Donc, comment aider quelqu’un qui doit mourir ? 

La transition de la conscience sera en correspondance exacte avec la nature spirituelle de l’individu, selon les attachements ou les détachements.

Que pouvez-vous faire pour aider quelqu’un à réussir une bonne sortie ?

Si dans sa nature il est avidement attaché à tout ce qu’il possède,
attaché à la vie sur un plan physique, donc au plaisir, vous auriez beau amener des files de curés, de pasteurs, l’âme ne s’en sortira pas mieux.

Aussi, l’idéal serait que l’entourage soit harmonieux, malheureusement la plupart du temps, la famille est dans une crise de pleurs et de larmes que si bien c’est compréhensible, il faut savoir que ces pensées et émotions rendent très traumatisante la sortie de l’âme.

(Ces émotions de tristesse rendent la vibration subtile autour très lourde. Vous sentez très bien la différence quand vous êtes dans un endroit déprimant et un endroit joyeux. La conscience du mourant étant de moins en moins fixée sur les sens physiques et plus en plus sur les sens subtils le sent vingt fois plus.

J’ai écouté de la part de clairvoyants que c’est comme s’il était dans une substance très dense, collante et répugnante de laquelle l’âme ne peut se libérer parce que les pleurs sont comme des cordes qui le serrent et l’empêche de partir. Et cette situation peut durer plusieurs heures, voir même jours, étouffant et épuisant l’âme.)

Donc chaque fois qu’il vous semblera que quelqu’un autour de vous est proche de mourir, ce que vous avez de mieux à faire sur lui, si la personne n’est pas capable d’admettre le spirituel, d’admettre la concentration et la méditation, ce que vous devez faire c’est méditer pour lui, au moment précis, pour lui envoyer des énergies. Opérez en fait ce que les prêtres autrefois pratiquaient.

Lor
sque quelqu’un était mourant, on appelait le prêtre. Le prêtre passait, recueillait la confession, donnait l’absolution, qu’est l’acte vibratoire par excellence. Il ne s’agissait pas de pardonner l’individu des péchés qu’il avait commis, pour qu’il puisse aller au paradis, comme on l’a fait croire plus tard.

(Comme nombreux actes religieux, originellement il y a une raison occulte donnée par les sages fondateurs qu’avec le temps elle a été oubliée et altérée. Voir comment nous libérer de nos traumatismes ?)

L’absolution en réalité donne un apport vibratoire qui permet à l’individu de se décoller du plan profane, c’est-à-dire de ne pas rester dans l’astral au moment de la mort. L’astral, où justement beaucoup trop de profanes errent après leur passage, et où il leur faut parfois des années de temps terrestre pour écumer leur attache et pour pouvoir partir.

Donc lorsque vous connaissez quelqu’un de profane qui doit mourir, premier réflexe, méditez pour lui, priez pour lui et envoyez directement par visualisation l’énergie sur lui, pour remplacer le prêtre que votre société n’accepte plus aujourd’hui.

Pastor (guide spirituel, 21-06-86 y 15-05-88)

COMMENT AIDER LES DÉFUNTS ?



Quand la personne est en train de mourir. Si elle n’est pas spirituellement préparée, vous pouvez faire peu de choses, car tant qu’elle aura une seconde de conscience objective, elle aura une peur immense qui va empêcher un efficient travail énergétique sur elle. Par contre, là où vous pourrez aider l’âme, c’est quand elle sera définitivement passée de l’autre côté.

Comment faire ?

D'abord, en la débarrassant de sa dépouille de manière radicale, par le feu. Selon la théosophie, le mieux c’est après trois jours du décès. Selon le bouddhisme, le mieux c’est de ne pas toucher le corps les sept premiers jours, si ce n’est pas possible, trois jours et demi suffiront.


Ensuite, en travaillant sur une photo, un portrait, ou quelque chose qui a appartenu au défunt. Pensez à amener des fleurs, une flamme et de la musique pendant un cycle de sept jours. C’est ce qui est déjà fait, sans savoir pourquoi lorsqu’on observe rigoureusement la règle.

Les émanations qui vont partir de la fleur, de la flamme et du son, vont servir de nourriture au défunt. La fleur, sur un plan occulte, dégage une vibration de plénitude. C’est pour cela que lorsque l’on veut appeler les anges, par exemple, il est bon de se trouver soit dans un endroit fleuri, ou en tout cas où la nature est reine, soit de créer un mini-conditionnement naturel, avec le plus de fleurs possibles.

L’émanation de la fleur est une émanation de plénitude. La flamme est purificatrice. Elle brûle la mémoire astrale. La musique, le son, est une fréquence qui perce plusieurs couches, à partir du physique en passant par l’éthérique, l’astral et même va au-delà, puisque cela attire même les anges.

Le son, la musique n’a pas de limite dans son voyage. C’est comme la lumière en fait. La lumière voyage partout dans l’univers. Le son fait de même. Parce que 
le son est la seule énergie qui n’a pas besoin d’une autre énergie pour se perpétuer. Le son est une énergie pure.

Dès que cette énergie est déclenchée, elle a une immortalité. Il en est de même pour la pensée. La pensée est un son. C’est pour cela qu’il y a toute une magie autour de la pensée.
Donc le son, tout en calmant, nourrit l’âme de hautes vibrations. Je ne parle pas du dernier tub du groupe X pour essayer de nourrir l’âme d’un mort, même si c’était sa chanson préférée.

Il y a des auteurs qui ont été des compositeurs spécialement inspirés par ceux qui justement manipulent le son, parce que c’est la base de leur énergie. Ce sont les Dévas, autrement dit, les anges. Comme je l’ai expliqué, les anges sont sur le règne du Saint-Esprit, l’intelligence active. L’intelligence active c’est le verbe. Le verbe c’est le son. Et sur un plan terrestre, c’est la musique et la parole.

(Pour donner un exemple, j’ai plusieurs fois écouté que le premier mouvement de la sixième symphonie de Beethoven « La Pastorale » est très propice, mais soyez libre d’utiliser autre mélodie. L’important est qu’elle harmonise et élève la vibration.)


Donc la musique va attirer des vibrations sur cette âme, qui vont commencer à l’élever petit à petit vers des sphères de plus en plus subtiles. Si l’individu bénéficie d’un guide personnel, cela va lui faciliter son travail. S’il fait partie d’une âme groupe, encore très volumineuse, il sera dirigé, comme on dirige des wagons électroniquement. Il va être dirigé tout simplement par la loi, la vibration donc. (Voir chacun a son ange ?)

Puisqu’il va être dirigé par la loi, il est donc absolument nécessaire qu’un service au défunt soit donné, parce que vous ne savez pas qu’elle est l’envergure spirituelle de la personne qui meurt. 
Pour ceux qui ont un guide personnel vous n’avez pas de souci à vous faire. Pour ceux qui font partie de la masse, faites ce que l’église perpétue. Et là, elle a raison.

Que dire encore sur la mort, sinon que vous devriez un petit peu plus penser aux défunts, sans tomber dans l’exagération qui veut que l’homme porte un culte aux morts, mais vous pourriez à certains passages astrologiques qui donnent une ouverture sur l’au-delà,
leur faire offrande de fleurs, de feux, et de musiques, pour qu’ils s’en nourrissent et pour qu’ils comprennent ce qu’ils sont en train de faire là-haut, en train d’apprendre. 

Ou, s’ils sont encore dans un état de rêve, pour que leur rêve leur soit plus doux, étant donné que le mort rêve sans arrêt de ce qu’il a vécu sur la terre, dans toutes ses incarnations. De cette manière, le rêve peut être plus doux.

Pastor (guide spirituel, 21-06-86)

QU’ARRIVE À LA CONSCIENCE APRÈS LA MORT ?



On dit que la vie post mortem se passe dans un premier stade sur le plan astral (Kama-Loka) et ensuite sur le plan mental (Devachan).
Nous voudrions savoir si toutes les personnes sans exception sont conscientes sur le plan mental après la mort. Cela exige-t-il une vie consciente sur le plan mental durant l’incarnation qui a précédé la mort ? 

Pour répondre à la question, je dirais que vous mourez de la manière dont vous avez vécu. C’est-à-dire que si vous avez vécu sans conscience, vous mourrez sans conscience. Par contre, si vous avez été quelqu’un qui s’est efforcé de développer l’éveil de sa conscience, si vous avez été un disciple actif, lorsque vous allez quitter la matière, automatiquement vous allez être quelqu’un avec cet acquis et vous allez pouvoir travailler avec les zones de conscience obtenues grâce aux expériences vécues dans la matière.

On ne peut pas dire ce qu’est la mort, parce qu’en fait, lorsque l’on se place dans la vision des guides, dans la vision de la vérité, il n’y a pas de différence entre l’état qu’octroie la vie physique et l’état qu’octroie ce que les hommes appellent la mort. La seule différence, c’est qu’un jour vous avez un vêtement (le corps physique) et le lendemain vous n’en avez plus, mais la conscience reste exactement la même, exactement en symbiose avec ce qu’elle a été par son expérience dans la matière.

Donc il n’y a pas en fait un état de conscience d’avant la vie, un état de conscience pendant la vie et un état de conscience après la vie, donc à la mort. Toute la conscience est exactement la même du début à la fin, non seulement de son passage dans la matière et son départ, mais en plus, depuis son moment d’extériorisation, sa première incarnation jusqu’à sa dernière.

Ceci me rappelle ce qu’a dit l’ange dans le livre Dialogues avec l’Ange :

«  La grande question – la mort – n’est que vibration.
Entre la naissance et la mort, un écran fausse votre vue.
Naissance et mort ne sont que vibrations.
La vie n’est pas donnée par pitié, la vie est éternelle, mais à travers cet écran, vos yeux ne voient pas.
Renaissance, Résurrection, Ténèbres, Mort, Chute sont tout à fait différentes de ce que vous supposez.
Si vous éleviez votre vue plus haut, vous verriez que de nombreuses vies, cela est impossible.
La Vie est Une, Indivisible, Eternelle. »  (p. 353) 


Qu’elle est la seule différence ?

C’est que la note d’auto-conscience n’a pas forcément retrouvé toutes ses sonorités (ce à quoi sert l’évolution). Ainsi, lorsque l’homme qui est unité, qui a tout sans le savoir, lorsqu’il passe dans la matière et à travers toutes ses incarnations, il ne fait que redécouvrir l’acquis, le savoir et le pouvoir qu’il possède (seulement qu'en état latent, voir
rondes : développement de l'homme). 

C’est pour cela qu’on ne peut pas dire que l’homme meurt, ou que l’homme connaît une conscience différente pendant sa vie ou pendant sa mort, c’est exactement la même conscience, la conscience acquise avec le niveau initiatique atteint. Même si l’on ne croit pas à la mort et que l’on se dit que c’est tout simplement le passage de la matière à l’esprit, même cela est faux, la mort n’est même pas un passage. Il y a tout simplement un moment où il existe un vêtement et un moment où il n’existe plus. La mort n’est pas un passage, parce qu’en réalité ce passage il existe à toute heure aussi pendant la vie.

Cette transition de la conscience qui s’effectue après la mort du plan physique au plan mental, aussi peut s’effectuer pendant le sommeil, seulement qu’on retourne après a notre corps physique et parce que nous ne sommes pas encore suffisamment développés, nous ne nous rappelons pas l’avoir expérimentée. (voir les rêves expliqués par l’ésotérisme)

Avec l’entrainement suffisant on peut le faire à volonté (voir méthode pour accéder aux plans supérieurs de la terre), mais il faut encore laisser reposer le corps physique. Un des objectifs de l’évolution cosmique est d’être capables d’être conscients en même temps dans différents plans vibratoires, développant chaque fois un peu plus l’omniprésence. Ainsi, les grands Adeptes sont capables d’être conscients en même temps dans le plan mental et le plan physique.

Pensez à cela. Si vous croyez à un passage, je ne veux pas vous retirer l’image, pensez aussi que vous êtes venus par ce même passage, mais je vous dis qu’il n’existe pas de passage. C’est l’esprit qui s’amuse, qui prend un gant et qui le laisse, qui en prend un autre et qui le laisse tomber. La peur est tout simplement un phénomène psychologique, et la peur sera traitée plus tard comme un problème psychiatrique d’ailleurs.

On verra plus tard que beaucoup de comportements que l’on dit aujourd’hui être psychoaffectifs, ne sont que des données psychiatriques profondes et graves qu’il faudra soigner. On remettra en cause la notion de la raison et de la folie. On lèvera un peu plus haut la barrière de la raison et l’on dira que finalement sur cette terre, dans le passé, il n’y avait pas tant de gens raisonnables que cela.


Maintenant ce qui serait intéressant de savoir, c’est comment éviter de rester trop longtemps dans cet entre-deux mondes (connu comme le Kama-Loka) que l’on appelle le passage dans l’astral ?

Tout le monde le connaît de toute manière, il demande trois jours à tous les disciples, à tous les initiés, et au-delà de ces trois jours on peut, soit revenir dans la matière comme l’a démontré Jésus adombré par le Christ, soit partir vers le divin comme l’on fait d’autres initiés après leur mort.

Ce qu’il faut donc savoir, c’est comment accélérer cet état, pour pouvoir continuer à agir, soit sur un plan physique et rester près des hommes, même si l’on n’a plus d’enveloppe charnelle, ou comment devenir très actif au sein de la hiérarchie.

Que doit faire le disciple lors du passage de la mort pour qu’il puisse devenir utile très vite sans attendre ? 

Car dans l’attente, quelquefois il y a des pertes d’énergie. Attendre trois jours ce n’est pas long, trois jours c'est rien dans le temps qui se passe là-haut, au-delà du plan physique, mais ces trois jours sont très importants, parce qu’à l’occasion de cette attente des pertes d’énergies ont lieu, des pertes énormes. Ce qui fait que le disciple, pour être utilisé, doit remonter dans son sein initiatique, là où il trouve la correspondance vibratoire, ses frères, son guide spirituel et il doit être renforcé, renouvelé en quelque sorte, donc il renaît sur ce plan-là.

De la même manière qu’il a dû naître sur un plan physique, il est obligé de renaître sur le plan spirituel. Et pour éviter le passage de cette renaissance, qui demande encore adaptation, éducation, renforcement etc., il faut pouvoir passer en pleine conscience. C’est pour cela que cette mort ne peut-être vécue et opérée que par des disciples ayant longuement médité, ayant longuement pratiqué la science de la concentration.

Pastor (guide spirituel, 15-05-88)

(La technique pour entrer en pleine conscience au plan mental est dans Méthode pour conserver la conscience après la mort)

MÉTHODE POUR CONSERVER LA CONSCIENCE APRÈS LA MORT



Quand les gens meurent, ils passent par une zone intermédiaire (Kama-Loka) avant de pouvoir entre au monde divin. À ce sujet le Mahatma Kuthumi dit :


« Quand l’homme meurt, son mental (le cinquième principe) tombe dans l’inconscience et perd toute remémoration des choses autant intérieures qu’extérieures. Sans importer s’il doit rester dans le Kama-Loka quelques instants, heures, jours, semaines, mois ou années. Sans importer s’il est décédé d’une mort naturelle ou violente, si cela eut lieu dans sa jeunesse ou la vieillesse, et si l'Égo [l’individu] a été bon, mauvais ou indifférent. Sa conscience le quitte aussi subitement que la flamme quitte la mèche quand s’éteint.
. . .
[Au moment de mourir] ceux qui savent qui sont morts dans son corps physique [c’est-à-dire qu’ils restent conscients] seulement peuvent être ou les adeptes ou les sorciers. Et ces deux cas sont l’exception de la règle générale. » 
(Lettre Mahatma 20C, p128)

La conscience retourne progressivement à mesure que la personne entre dans le plan mental. Cependant, ce passage intermédiaire est très important parce qu’il peut y avoir des pertes énormes d’énergies. Ce qui fait que le disciple, pour retrouver ses capacités, il doit remonter dans son sein initiatique, là où il trouve la correspondance vibratoire, ses frères, son guide spirituel et il doit être renforcé, renouvelé en quelque sorte, donc il renaît sur ce plan-là. De la même manière qu’il a dû naître sur un plan physique, il est obligé de renaître sur le plan spirituel qui demande encore adaptation, éducation, renforcement etc.

Comment faire donc pour passer vite par ce monde intermédiaire, pour éviter cette renaissance et entrer en pleine conscience au monde spirituel ?

Pour mourir avec l’acquis total de ses énergies, il faut mourir en méditant. C’est-à-dire qu’au moment où vous sentez que vous allez mourir, et tout le monde sait exactement lorsque son heure a sonné, il lui suffit de trois secondes pour s’aligner avec son âme et partir en pleine conscience. C’est pour cela que cette mort ne peut-être vécue et opérée que par des disciples ayant longuement médité, ayant longuement pratiqué la science de la concentration.

La concentration est quelque chose qui est aussi rapide que l’éclair, il n’y a pas besoin de commencer par allumer la bougie, se desserrer la ceinture, se ranger les cheveux, se laver les mains, s’asseoir, compter jusqu’à dix et puis attendre que la tête tombe. La concentration est quelque chose qui peut s’opérer immédiatement et qui doit s’opérer instantanément, sinon ce n’est pas de la concentration, c’est de la divagation.

L’homme éparpille ses énergies et en éparpillant ses énergies, un épuisement arrive, le mental cesse, une partie en tout cas de la pensée peut cesser, par manque d’énergie. Il semble que l’individu médite, il lui semble être dans un état très favorable en tout cas, mais ce n’est pas un état de conscience, un état de méditation, ni un état de concentration. C’est tout simplement un état de dispersion dans lequel ses énergies sont tombées et il n’y en a plus pour alimenter le mental ou les émotions.

Ceci est un état proche de la transe. La transe n’a jamais amené à un état de conscience ou à une méditation. La transe amène à la transe, ouvre les portes sur l’astral et l’astral ouvre les portes sur les entités néfastes. Alors, toutes les personnes qui pratiquent la méditation en se laissant aller, en se laissant chuter, en se laissant petit à petit endormir et qui s’approchent de la transe, s’approchent du danger. Du danger d’ouvrir leur corps astral aux entités astrales et de se faire parasiter, de se faire vampiriser.

La concentration est quelque chose de dynamique, ce n’est pas du tout quelque chose où l’on fond comme un sucre d’orge au soleil. Non, la méditation est une volonté. Le feu qui est déclenché pendant la méditation est le feu de la kundalini, il ne faut pas l’oublier, et la kundalini est le rayon UN de l’Univers, c’est le Pouvoir.

Donc la méditation, est un acte de pouvoir, ce n’est pas : « venez à moi les pâquerettes ». Non, il faut absolument s’aligner, se concentrer, vouloir méditer et à ce moment-là, être la volonté. Celui qui ne connaît pas la volonté, ou ne serait-ce qu’un petit soupçon, ne peut pas méditer. Et je ne parle pas de la volonté que l’on pourrait associer à l’entêtement, à ce vouloir qui est typique en l’homme, et qui dit : « je veux telle chose et je l’aurais et tant que je ne l’aurais pas je m’accrocherais. » La volonté ce n’est pas cela. La volonté c’est la puissance, c’est la capacité, comme cela est démontré dans la vie de l’univers, de connaître une loi et de tenir cette loi, parce que le rayon un, c’est la loi.

Que doit faire donc le disciple lors du passage de la mort pour qu’il puisse devenir utile très vite sans attendre ?

Si vous-même, vous êtes à l’instant de mourir, que ce soit au volant de votre voiture, que ce soit dans n’importe quelle circonstance ou tout simplement dans votre lit, que vous sentez très bien que c’est le moment. Concentrez-vous immédiatement, même si ce n’est que trois secondes je vous le dis, cela fonctionne aussi. Concentrez-vous, alignez-vous avec votre âme et dites-vous :

« Je suis cela, je suis l’esprit, je suis l’âme »

Et vous allez voir, qu’au moment du passage, il va vous sembler non pas mourir, mais simplement vous défaire de l’enveloppe qu’est le corps. Et automatiquement, dans la zone de conscience supérieure que vous allez découvrir, votre guide sera là et vous donnera immédiatement du travail à accomplir. 

Quel travail ?

Par exemple, participer à la nouvelle ère, à la construction de nouvelles méthodes de guérison, à la construction de nouveaux édifices, pour inspirer les architectes, inspirer ceci, inspirer cela, ou travailler à des transformations énergétiques, le travail ne manque pas.

Pastor (guide spirituel, 15-05-88)

Note : « Je suis cela » est la traduction du mantra sanskrit सो हम् qui se prononce « So-ham ».