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Partie 1 et Partie 2.


CONVIENT MANGER DE LA VIANDE ?



(Dans ce chapitre, j’ai réuni l’information qu’a donnée Pastor sur ce sujet.)


Question : quelle est la part de responsabilité de l’alimentation dans les maladies de notre civilisation moderne (telles que le cancer, le diabète, etc.) et de quelle manière faut-il changer l’alimentation ?


« L’alimentation (comme tous les autres sujets qui vous concernent : la sexualité, la société, le travail, etc.) est en correspondance avec le développement que les humains ont atteint. Et selon votre niveau de conscience, ce que vous croyez être (si vous pensez que vous êtes seulement un corps pensant ou si vous considérez que vous êtes aussi une âme, etc.) vous mangerez en conséquence.

Et comme l’homme ne sait pas être libre, alors les dogmes qui s’édifient autour de lui créent une tradition et l’homme entretient cette tradition même si elle n’est pas la plus saine (et dans ce cas-ci c’est la tradition de manger de la viande).

Mais pour avoir une vision plus profonde de l’alimentation, l’alimentation devrait être vécue comme un problème d’évolution et de développement cosmique, et non pas comme un problème de diététique comme c’est actuellement le cas.

Et pour que vous compreniez mieux ce que je veux dire par-là, jetons un aperçu rapide sur :


L’histoire de l’alimentation de l’homme

Lorsque l’on prend l’homme à ses balbutiements pour régir sa vie, l’homme n’était qu’instincts. Et il existe encore certaines tribus qui témoignent de ce que je vais vous dire. Car à cette époque-là, la plupart des hommes étaient des cannibales, parce qu’ils n’avaient pas la notion de ce qu’était l’aspect du corps, la vie du corps.

Et comme des animaux, ils mangeaient le corps qui était à leur disposition, que ce soit celui du voisin ou celui d’un buffle qu’ils venaient de chasser, car ils ne voyaient en ces corps que l’aspect viande.

Petit à petit, l’homme évoluant avec l’apparition du mental (et donc par là même du langage), il a commencé à considérer ce qui était bien de ce qui était mal, et il a commencé à évaluer ce qui quelque part était acceptable de ce qui quelque autre part était trop animal.

Alors il a cessé de manger le corps de ses congénères, et pour les tribus qui n’ont pas évolué, cela peut se remarquer encore dans ce siècle, où cette tradition ancestrale est encore perpétuée.

Et à la suite de ce premier changement alimentaire, l’homme s’est intéressé à tout ce que la nature offrait de plus goûteux, parce qu’en même temps que l’on change la conscience, on change aussi ces réflexes alimentaires.

Mais il faut parfois des nombreuses générations pour impliquer l’humanité dans un changement de réflexe alimentaire, parce qu’à force de programmer un corps à manger ceci ou à manger cela, le corps le réclame comme un fondement même de sa santé.

Donc, avant tout changement sur le système d’alimentation, il faut d’abord créer des compensations, surtout au niveau du goût, parce que le goût est le premier réflexe et c’est par le goût que l’homme arrive à guider ses besoins.

Par exemple, s’il a besoin (pour une raison quelconque de santé) de faire entrer un peu d’acide dans son corps, c’est le désir d’acidité qui va être évoqué dans sa bouche. Et c’est en étant guidé par ce goût qu’il va pouvoir choisir l’aliment juste. Mais avant de pouvoir retrouver tous ces réflexes nouveaux, il faut d’abord qu’il quitte les anciens réflexes, et là est le problème.

Donc, l’humanité passe à travers des déprogrammations des anciens réflexes, et dans le passé il a fallu l’empêcher de manger le corps de son voisin, et maintenant il s’agit de l’empêcher de manger le corps des animaux. Et pour cela, depuis de longs siècles les individus arrivent à équilibrer leurs sources de nourriture, animale et végétale.

Maintenant pour son développement futur, et pour tout simplement être en résonance exacte, pour être cohérent vis-à-vis des développements spirituels et futurs, il faut que l’homme cesse de manger de la chair animale. Je l’ai déjà expliqué quelque part, mais je vais le répéter pour vous.



L’alimentation dépend du degré de développement

Lorsque l’homme était primitif comme je vous l’ai déjà dit, il était cannibale, et cela n’était pas à cette époque un péché. Parce que tout simplement les circonstances étaient telles que l’on ne pouvait pas demander à un homme (qui à cette époque était plus un animal qu’un être humain) d’avoir un développement d’esprit suffisamment grand pour comprendre qu’il ne devait pas manger le corps de son congénère.

Puis un développement lui a été possible avec l’apparition du mental, car alors il a pu commencer à juger ce qui était bien de ce qui était mal, et donc il a commencé à générer une certaine forme de morale, et c’est alors que les premières religions ont été constituées. Et l’homme a commencé à avoir du respect pour les corps de ses congénères, et l’homme devenu un peu plus humain et ne s’est plus occupé que de chasser.


Et cet instinct de la chasse, de manger l’animal est resté dans l’humanité jusqu’à nos jours.

Et en fait, dans l’actualité, la plupart des gens mangent la chair animale plus par tradition que par nécessité. Parce qu’ils ont été programmés depuis leur enfance à manger de la viande et leur goût a été éduqué et habitué à avoir besoin de telle nourriture.

Mais en réalité l’homme n’a pas besoin de viande (sauf quelques exceptions particulières). C’est tout simplement l’éducation de son goût qui a été construit pour avoir besoin de la viande. Et quand je dis cette chose, je ne veux pas dire qu’il y ait péché pour manger de la viande.

Prenez un homme tout à fait normal, du quotidien, profane, qui vibre encore sur le plan astral. Eh bien, il ne commet aucun péché à manger de la viande parce que son plan de conscience est tel, qu’il continue à faire partie de la masse des hommes (qui quelque part sont encore à moitié animaux et à moitié humains). Donc il continue à faire partie du cycle de la nature pour survivre.

Ces hommes continuent encore à faire partie de cet équilibre alimentaire lequel est d’ailleurs créé par la nature elle-même.

Et c’est pour cela que certaines personnes qui commencent à s’éveiller à la spiritualité se disent :

Mais puisque c’est dans la nature, pourquoi l’homme ne le ferait-il pas ?

Puisque l’animal mange l’animal pourquoi l’homme ne peut-il pas manger aussi de la viande ?


Et à ces gens-là, je leur réponds :

Fais-tu encore partie du monde animal ?

Si tu es encore sur ce plan, alors mange de l’animal, il n’y a aucun problème. Tu fais tout simplement partie de cette grande chaîne alimentaire conçue par la nature pour que la terre soit harmonieuse et que tout son jardin ait un développement harmonieux, sans qu’aucune espèce ne vienne en détruire l’équilibre. Puisque chacun dépendant pour sa survie, de l’autre, afin d’entretenir la création de vie qu’il y a sur la planète.

Et tant que l’homme fait partie de cette grande chaîne alimentaire (puisqu’il continue à être quelque part, seulement un élément de la nature, et je dis bien un élément de la nature). Alors il n’y a aucun problème qu’il mange de la viande, car la vie étant un sacrifice, elle accepte volontiers de lui donner un animal à manger.

Mais à partir du moment où l’homme veut se développer, où l’homme veut devenir de plus en plus divin, et où il commence à connaître certaines des grandes harmonies cosmiques, et donc où il n’est plus simplement un élément de la nature, mais devient de plus en plus un fils de Dieu qui doit diriger la nature. Alors vous ne pouvez plus vivre avec les principes mêmes de ces éléments.

Parce que pour chaque règne, il y a son plan de conscience, et pour chaque plan de conscience, il y a ses règles.

Si vous voulez être un fils de Dieu (et non pas qu’il y ait un péché à manger de la viande, car je ne parle pas en ces termes-là), mais je dis tout simplement que pour un fils de Dieu, il lui est impossible de sacrifier la vie d’un animal pour renouveler et renforcer la sienne, parce que cela ne correspond plus à sa nature et s’il fait cela, alors il se dégrade au lieu de s’élever.

Parce que le principe des grands êtres divins est de se sacrifier eux-mêmes pour renouveler la vie des autres êtres. Et ainsi par exemple, le Christ n’est pas venu pour vous dévorer en prétextant :

« J’ai besoin d’énergie pour l’ère qui vient. »

Parce que vous, vis-à-vis de lui, vous n’êtes rien d’autre que des petites grenouilles et des petits moutons. Et puisque vous, les petites grenouilles et les petits moutons vous les mangez bien, car vous vous dites :

« Ce ne sont que des animaux. »

Alors si le Christ n’était qu’un quelconque Gargantua il dirait :

« Deux mille cinq cents ans ont sonné, c’est l’heure de mon repas. On va voir un peu sur la terre s’il y a de bonnes cuisses à faire rôtir. »

Mais ce n’est pas ce qui se passe. Au contraire, il vient donner de son énergie pour renouveler la vôtre.

Parce que pour un Être divin la vie est sacrée et ne pas manger de l’animal, cela ne veut pas dire ne pas commettre un péché, mais tout simplement respecter la vie des autres.


(Et les Maîtres de Sagesse expliquent aussi que la vibration de la viande est très dense et que les gens qui mangent de la viande empestent énergétiquement ce qui est un grand empêchement pour qu’eux puissent s’approcher à ses gens, et c’est aussi un grand obstacle pour que ces humains puissent avancer plus rapidement sur la voie initiatique.)



Laissez-moi vous raconter un conte

Il y avait un disciple marchant sur un chemin bordé d’arbres et tout d’un coup une colombe affolée vint se poser à ses pieds. Ce disciple avait le don de parler avec les animaux et il lui dit :

« Mais qu’as-tu pour être autant affolée, qu’est-ce qui te fait si peur ? »

La colombe lui dit :

« Il y a là-bas dans la forêt un chasseur qui veut me tuer parce que lui et ses enfants ont faim. Il m’a vu voler, il m’a visée. Alors je viens me réfugier auprès de toi. Sauve-moi ! »

Le disciple prend la colombe, il s’assoit sur le chemin et se met à réfléchir, car c’était un disciple qui pensait beaucoup, et il se disait :

« Voyons, si je sauve la vie de la colombe je vais priver de nourriture toute cette famille. Mais en même temps, si je veux nourrir cette famille je sacrifie la vie de la colombe. »

Alors il attendit le chasseur en gardant la colombe et il dit au chasseur :

« Voilà, la colombe m’a raconté cette histoire, il paraît que ta famille et toi avez faim. »

Alors en compensation, il projeta son esprit et lui dit d’aller dans tel champ pour avoir de la nourriture et à tel arbre pour avoir des fruits.

Mais le disciple encore insatisfait, leva les yeux au ciel, regarda Dieu en face et lui demanda :

« Seigneur, pour sauver la vie de la colombe, j’ai envoyé le chasseur prendre de la culture et du fruit dans le champ d’un voisin.
Ai-je agi correctement ? »

Alors Dieu lui répondit :

« C’est bien mon fils car le fruit de la terre se partage, mais tu n’as pas compris une loi. Tu as bien agi, mais il y a une loi que tu n’as pas comprise. »

Et Dieu essaya de l’initier à ce propos :

— « Es-tu prêt à sauver la colombe ? »
— « Oui je veux la sauver et pour cela, tiens-je te donne mon pied. »
— « Ce n’est pas assez. »
— « Alors je te donne aussi toute ma jambe. »
— « Ce n’est pas assez. »
— « Regarde, je te donne aussi mes bras, Je coupe chacun de mes membres pour sauver la vie de la colombe. »
— « Ce n’est pas assez. »
— « Alors veux-tu que je m’arrache le cœur. »
— « Ce n’est pas assez. »

Alors Dieu fit apparaître une grande balance et dit au disciple :

« Viens et instruis-toi. »

Il prit la colombe et la mit sur un plateau, il prit le disciple et le mit sur l’autre plateau et aucun des plateaux ne bougea parce qu’il y avait égalité.

« Regarde, la vie est partout la même. »

Et c’est en ce sens qu’il ne faut pas manger de l’animal, parce qu’il y a en lui, de la vie consciente autant que chez l’être humain, à un degré différent certes, mais aussi il y a de la vie consciente.



Le sens ésotérique du sang

Autrement dit, il ne faut pas manger d’aucune chair qui soit alimentée par du sang. Parce que chaque fois qu’il y a sang, il y a de la conscience sur un certain plan. Donc, éloignez-vous de toute forme de nourriture érigée par le sang et ainsi vous ne commettrez aucun « péché » vis-à-vis des harmonies cosmiques et des balances de la vie.

Et c’est pour cela que dans la Bible il est écrit :

« Tu ne devras pas manger d’êtres qui ont du sang dans le corps. Tu ne devras pas tuer ces êtres, ni les consommer. »

Parce que le sang c’est le flux matériel de l’âme.

Lorsque vous mangez de l’animal (et je ne vous critique pas si vous le faites, car vous êtes libres de manger n’importe quoi) mais lorsque vous mangez un animal, vous absorbez les résidus des vibrations de son âme animale par le fait du sang.

Car tout ce qui contient du sang, contient déjà une forme de conscience et c’est là où il y a une forme de meurtre.

Tant que vous tuez quelque chose qui ne fait partie que de la conscience universelle (comme c’est le cas d’un légume ou d’un fruit) il n’y a pas meurtre parce que l’énergie est immédiatement restituée à l’univers.

La conscience universelle est un réservoir qui se renouvelle sans cesse, et où il n’y a pas de conscience individuelle véritablement déterminée.

Mais chez l’animal, quel que soit son degré, il y a déjà une conscience individuelle. Et c’est à ce moment-là où il y a une forme de meurtre, car c’est un peu comme si vous mangiez votre voisin (toutes proportions gardées naturellement).

Mais vous mangeriez votre mascotte ?


Le sang de l’animal contient son âme et s’il a une âme, c’est qu’il est un être qui sent, qui pleure, qui a peur, qui comprend, qui souffre, qui ressent sa mort, son sacrifice. Il y a donc holocauste.

Ce qui ne veut pas dire que je vous accuse de manger de l’animal. Je n’accuse personne, car vous êtes, en fait, plutôt esclaves à l’heure actuelle d’une tradition. Et de cette manière-là, vous êtes moins coupables. Mais il y a quand même un karma qui se fait vis-à-vis des animaux, du fait qu’il y a holocauste des animaux.

Et ce karma se paie en sens inverse, et avec cela je veux dire que le règne animal va devenir de plus en plus dépendant de l’homme parce qu’il s’y attache.

C’est un peu comme si un homme martyriserait une femme.


Mais comme elle ne lui garde pas de rancœur, alors dans la vie suivante Karma va faire que cette femme naisse comme la fille de cet homme pour qu’ainsi cet homme la récompense

Et ainsi cet homme doit maintenant s’occuper d’elle, l’élever, la nourrir, la soigner, la supporter, lui donner de l’argent et toutes sortes de choses.


Eh bien, de la même manière, les hommes se créant un karma vis-à-vis des animaux, ils vont devoir s’occuper de plus en plus d’eux.





Alors manger de la viande ou ne pas manger de la viande ?

Parce qu’après tout ce que je viens de vous dire, sûrement il va y avoir une grosse crise de conscience entre ceux qui mangent de la viande et ils vont rentrer ce soir chez eux en se demandant :

« Est-ce que je dois griller mon steak ou pas ? »

Eh bien, je vous libère de tout problème de conscience. Grillez votre steak et avec plus de beurre même que d’habitude si vous voulez, et mangez-le avec plaisir. Car en fait la nature est, là aussi, à disposition de l’homme et il a été dit que l’homme aura la domination, la puissance sur toutes les créatures de la nature.

Il faudrait que vous vous dégagiez de cette ignorance et que vous en reveniez à ce que le Père vous avait dit et qui est écrit dans la Bible :

« Je vous donne les fruits et tout ce qu’il y a dans les champs pour vous nourrir. »

Car le principal crime que commettent les hommes, ce n’est pas tant de manger de la viande, mais de traiter d’une manière aussi inhumaine aux animaux que vous criez pour les consommer.

Et là encore une fois, je ne vous accuse pas, seulement je voudrais que les esprits s’éclairent un peu plus à propos de la nature de la vie. Parce qu’à niveau ésotérique on ne peut pas accuser quelqu’un de commettre un crime, s’il ne sait pas qu’il est en train de commettre un crime.

Et quand je dis un crime, je ne parle pas de péchés, je parle simplement d’un certain mal fait qu’est la peur que vous engendrez et la torture que vous appliquez chez les animaux et laquelle disparaîtrait en grande mesure si vous traitiez les animaux que vous criez pour consommer avec plus de respect.



Donc, quelque part, l’homme peut asservir et se servir des animaux. Ce qui ne veut pas dire que connaissant la vérité il a le droit de continuer à les tuer. C’est quelque chose qui dépend d’un plan de conscience. Pour ceux qui aiment la viande, qui veulent continuer à manger de la viande, ou qui par occasion ne peuvent pas faire autrement, ne vous mettez pas à vous culpabiliser et simplement évitez la chose le mieux que vous pourrez.

Par contre, essayez de développer chez les autres, non pas la culpabilité de tuer les animaux, mais essayez de développer chez eux des idées à propos d’une alimentation nouvelle et non pas uniquement basée sur la viande. Car la viande, quoi qu’en pensent les hommes, ne donne pas autant de force que cela. Elle donne de la force, c’est vrai, mais c’est une force très primaire, très matérielle, elle donne un feu très obscur, puisque toute l’alimentation est transformée en feu.

Mais le corps peut en fabriquer ce feu et d’une manière meilleure. Et quelqu’un qui ne mange que des céréales, des fruits et des légumes, de quelque manière que ce soit, par mutation, peut très bien fabriquer un feu primaire et de meilleure qualité.

Il ne faut pas penser que tous les végétariens sont anémiés. C’est ce que craignent la plupart des gens, et avant qu’ils abandonnent cette idée, il faudra longtemps, longtemps pour donner des preuves.




Les problèmes futurs pour manger de la viande


Maintenant, par rapport à l’alimentation diététique, beaucoup de découvertes doivent être faites à ce sujet (et il faudra aussi beaucoup de temps) car grâce à l’hygiène la longévité de la vie a été acquise. Mais si on laisse les hommes continuer à se nourrir comme ils se nourrissent actuellement, dans un futur ils vont perdre progressivement cette longévité acquise par l’hygiène s’ils continuent à manger de la viande.

Et là surement vous allez me demander :

Pour quoi ?

Et la réponse est parce qu’autrefois l’homme étant plus rustre, plus épais dans ses vibrations, parce que faisant partie de ce plan dont je vous ai parlé, et c’est pourquoi il n’y avait pas trop de problèmes à ce qu’il se nourrisse presque exclusivement de viande, car l’homme vibratoirement était en correspondance avec la vibration même de la nourriture.

Mais au fur et à mesure qu’il s’est développé, alors des nouvelles exigences sont venues comme par exemple : l’hygiène.

Aujourd’hui l’hygiène existe, mais il reste, entre autres, le problème alimentaire. Et ce n’est pas le seul problème qui engendre des maladies et des perturbations, car il y a aussi le problème de l’hygiène émotionnelle et vibratoire que les hommes ne connaissent pas encore.

(Et que Pastor a traité dans une autre conférence, voir : pourquoi existent les maladies ?)

Mais ce problème alimentaire dénature la vibration incorporée qui doit régénérer le corps physique.

Voyez-vous, ce qui est ingéré sur un plan physique se transforme aussi en vibrations et va nourrir le plan éthérique, et donc influence d’une certaine manière la vitalité éthérique, c’est-à-dire la capacité de capter le prâna et le développement des chakras.


Et c’est pour cela que dans certaines religions et dans certains temples, le Maître demande à son disciple (et selon le degré qu’il a atteint) de faire telle ou telle ascèse, de ne boire que de l’eau pendant tant de jours, et de ne manger que tel pain ou tel fruit pendant tant de jours. Parce que la chose ingérée correspond vibratoirement à un changement vibratoire et à une transformation des feux.

L’alimentation est la bûche qui permet au corps énergétique de se transformer depuis le physique, parce que l’éthérique n’est pas transformé depuis le haut, mais depuis le bas

Et n’oubliez pas que vous devez remonter et non pas descendre. Donc tout est transformé à partir du bas, des efforts du bas. Et ce ne sont pas les choses venant d’en haut qui transforment le bas.

Donc, par rapport à l’évolution typiquement intérieure de l’individu, c’est par rapport à ce qu’il fait, à ce qu’il acquiert, à ce qu’il mange, à ce qu’il boit en bas, qu’il va pouvoir remonter en haut.

Et c’est pour cela que sur un plan alimentaire, il faut éviter toutes les sources de nourriture animale, comme la viande. Il faut aussi éviter toutes les boissons fortes, donnant des désordres dans le mental, ou échauffant les différents viscères, ce qui perturbe le système nerveux et les glandes.

Alors je ne veux pas dire qu’il ne faut pas savoir s’amuser. Je ne veux pas dire que ceux qui pratiquent ces choses ne sont pas des disciples. Mais à un moment donné, si vous le faites trop, sachez premièrement, que vous portez préjudice à votre développement spirituel, et ensuite, que si vous voulez développer une prise de conscience et une volonté personnelle, il faut tout stopper. Car rien ne sert d’acquérir un développement si vous ne le protégez pas par-derrière.




Les aliments influencent notre comportement


Il y a encore beaucoup à découvrir à propos de l’alimentation, à propos de ses effets sur le plan éthérique et sur le comportement psychologique, parce que selon ce que vous mangez, vous arrivez à conditionner un comportement psychologique.

Et c’est pour cela que certains proverbes existent tels que :

« Mangez des légumes et vous serez plus aimable, par contre mangez de la viande et vous serez plus agressif. »

Car les anciens ayant été dépositaires de cette connaissance (qui en fait appartenait aux initiés), ils pouvaient dire que selon en fonction de ce que vous mangiez, vous apparteniez à tel type psychologique et à tel type vibratoire.

Mais malheureusement les hommes en s’embourbant dans une tradition fausse et mensongère, ils ont dénaturé leur être intérieur et leur psychologie.

Parce que de la même manière que l’homéopathie arrive à changer une psychologie, l’alimentation arrive aussi à renverser un vice, à renverser une dépendance que ce soit vis-à-vis du tabac, vis-à-vis de l’alcool, vis-à-vis du sexe, vis-à-vis d’un besoin psychologique, etc.

Il y a donc toute une méthode de guérison qui reste à découvrir par rapport à l’alimentation. Ce qui ne veut pas dire que c’est le remède à toutes les maladies, mais oui c’est sans doute une excellente complémentarité à d’autres interventions de guérison.




Conclusion

Cependant la meilleure nourriture c’est justement d’apprendre à être libre dans votre intérieur, car si vous essayez d’être libre, par là même, vous vous détacherez des notions d’alimentation dont on vient de parler, et de manger telle chose ou telle autre chose, ce ne sera plus un conditionnement.

Simplement vous vous laissez attirer par ce qu’il vous faut, par ce dont vous avez besoin énergétiquement pour votre santé, pour développer la thyroïde, ou la glande pinéale et par là même développer vos chakras.

Être libre, c’est se défaire du carcan de la programmation, du conditionnement.

C’est ce qui fait le disciple, ce n’est pas autre chose. Et c’est dans la liberté que l’homme arrive à être véritablement fraternel, à être amour. Parce que le conditionnement est toujours une agression.

Et c’est pour cela que la société actuelle est stressée, parce qu’elle est agressée par tous les conditionnements possibles, par les slogans publicitaires qui conditionnent la consommation, par la fausse morale de vouloir être beau, être belle, avoir de l’argent pour être respecté ou craint, etc. Et ainsi cela crée des agressions psychologiques.

Et à force d’être agressé, le mental perd pied. Il finit par craquer en quelque sorte, et c’est ainsi qu’un être, agressé de cette manière, renvoie l’agression sur les autres. Donc pour avoir la paix, il faut la liberté.

Regardez, même sur un plan politique, la chose est vérifiable. Dans un pays où la politique est trop contraignante, trop dictatoriale, des cellules se créent pour créer la révolution. Il faut donc la liberté et lorsque le monde sera libre, il sera en paix, et pas l’inverse.

La liberté appelle la paix. Soyez libres dans votre esprit et vous serez heureux et paisibles dans votre cœur. Soyez libres dans votre esprit et vous créerez autour de vous la paix. Sans cela vous créerez la guerre. »

(Conférence du 27.09.86)







Et dans une autre conférence Pastor a expliqué que c’est mieux d’être sincère avec nous-mêmes, et si on se rend compte qu’on ne peut pas encore nous priver de la viande, alors nous devons l’admettre, l’accepter et jouir de manger son grand bifteck.

Mais tout en mangeant de la viande sans sentir culpabilité, nous devons aussi nous efforcer pour progressivement (et dans la mesure de nos capacités) nous séparer de cette coutume.

Et agir ainsi c’est beaucoup mieux que de prétendre être déjà très végétarien, mais d’utiliser n’importe quel prétexte pour continuer à manger de la viande parce qu’en réalité on la désire encore.

Et ceci, il l’a mentionné à un jeune homme qui se trouvait dans ce conflit et à continuation je vous transcris ce qu’il lui a dit :


« 
Et comment on commence par être libre ?

Eh bien, on commence en prêtant attention aux expériences que nous avons.

Et c’est ce que je vous propose de faire.

Alors, arrête de dire :

« Je suis végétarien, mais il y a toujours trois ou quatre fois dans le mois où je dérape sur mon bifteck, etc. »

Je ne te demande pas d’être absolutiste. Non. Par contre je te demande d’être totalement présent dans votre expérience.

Alors déguste ton plat en t’acceptant comme tu es et ne dis pas :

«  Je suis végétarien »

Mais dis :

« Aujourd’hui je mange végétarien. »

Et ressent la différence que cela veut dire et à ce que cela fait.

Ne dis pas « je suis végétarien » car dans deux minutes après tu voudras être autre chose. Par contre dis « aujourd’hui je mange végétarien ». Ce qui fait qu’en même temps, tu te laisses une grande liberté et demain tu pourras aller manger ton steak frites, et il n’y aura aucun problème avec cela.

Tu seras totalement dans ton expérience, tu seras totalement là en train de manger ton steak frites. Et c’est en étant totalement présent dans l’expérience de manger les frites que tu t’aperçois que les frites sont trop salées et que ça charge lourdement ton estomac, que ça coince par ci, que ça coince par là, et tu n’as pas envie de vivre avec tous ces blocages.

Et à ce moment-là, l’expérience que tu as devient un enseignement, parce que la frite t’enseigne qu’elle n’est pas bonne pour toi et tu es ouvert à ressentir et recevoir son message.

Et alors, ce n’est plus parce que tu décides d’être végétarien que tu manges ton bol de riz, mais c’est parce que tu te rends compte que tu te sens mieux mangeant un bol de riz que des frites et du bifteck, que tu préfères manger végétarien.

Et à ce moment-là, tu n’es plus seulement végétarien. Tu es sage, parce que tu comprends la nature des choses et tu t’entoures de ce qui peut être le mieux pour toi.

Et tout en étant sensible à la sagesse, rien ne t’empêche de manger des frites, mon Dieu, manger un bifteck. Et à ce moment-là, amuse-toi avec tes frères pour qui c’est un amusement, car je ne t’empêche pas de t’amuser avec les autres.

Tes frères mangent des frites. Eh bien, mange des frites avec eux. Tes frères boivent un alcool. Eh bien, bois un alcool avec eux. Mais ne le fais pas en te sentant obligé, mais en décidant t’amuser avec eux, comme les parents savent s’amuser avec leur enfant en participant à leur jeu.

Moins tu vas penser sur ce que tu dois être, sur ce qu’il faut faire, et plus tu vas devenir présent et plus tu seras une âme expérimentant la vie. Et tu ne seras pas un menteur qui va se mentir à lui-même et mentir aux autres en se disant :

« Je suis végétarien, mais tous les samedis soir, puisque mes amis mangent des biftecks, moi aussi je mange mon bifteck. »

Mais en fait pour toi, c’est une bonne excuse pour manger ton bifteck, parce qu’en réalité tu continues à aimer la viande.

Est-ce que tu vois toutes les petites ruses que crée la personnalité pour finalement vivre dans un état de confusion lamentable et dans un état où il n’y a pas un moment de paix ?

Ce n’est pas vraiment important de manger de la viande ou pas, de boire un alcool ou pas. Cela a une influence, c’est vrai, sur le corps et sur l’oscillation des cellules pendant la méditation, mais cela ne veut pas dire que c’est le plus important.

Par contre ce qui est important avant de préparer ton corps à la meilleure méditation, c’est que tu prépares ton esprit à ne plus être attaché à ces mensonges :

« Je prétends être végétarien, mais d’une manière malicieuse je mange mon bifteck en prétendant que c’est la faute des autres… »

Non, parce qu’alors tu es en train de vivre dans le mensonge.

Et comment peux-tu méditer sur le bruit que fait ce mensonge ?

Impossible parce que dès que tu médites, qu’est-ce que tu vois apparaître dans ton imagination ?


Des biftecks !



Tu as décidé de méditer,  tu es sincère, tu te bombardes de mantras et voilà que tu as une envie démente de bifteck bien grillé, et au travers de l’odeur de l’encens, tu sens déjà cette odeur de grillade qui arrive et qui te chatouille les narines.

Et tu te dis :

« Comment faire Seigneur, comment lutter, pourquoi m’as-tu fait si faible ? »

Ce qui fait que tu es harcelé par cette grillade en plein milieu de ta méditation. Mais ce n’est pas parce que tu es attaché à la viande, ce n’est pas parce que tu es un mangeur de viande qui a un gros problème de choix :

« Ou Dieu ou mon bifteck, que choisir ? »

Ce n’est pas cela le problème. Le problème, c’est que tu te mens. Tu aimes la viande, mais tu préfère mieux prétendre être végétarien parce que c’est plus propre, plus spirituel, parce que c’est à la mode et que tout le monde fait ça.

Mais tout le monde fait comme toi, tout le monde mange le bol de riz pendant l’assemblé du groupe et après tout le monde va au restaurant manger un bifteck et personne ne se le dit rien le lundi matin, parce qu’il vaut mieux penser que vous êtes végétarien.

Il faut avoir le courage d’assumer ses choix. Et si tu veux véritablement être spirituel, c’est par l’évacuation de tous ces mensonges que tu dois commencer.

Si je veux un jour manger une grillade, alors que je suis considéré comme un grand méditant, comme quelqu’un de bien orienté spirituellement, je vais donc devoir assumer la critique, assumer que les gens doutent que je sois un bon méditant et un grand spirituel.

Mais qu’est-ce que ça peut faire. Laisse-les douter !

Observe ta propre méditation, tu vois bien que s’est ce qui arrive. Il y a le visage de celui que tu n’apprécies pas, qui t’a vexé, que tu ne comprends pas ou qui te révolte. Et cela devient ton problème.

Alors que celui qui aura pacifiquement, gentiment mangé sa grillade sera en paix, le ventre plein, l’esprit heureux et pourra méditer et ressentir la présence des anges. Pendant que toi qui penses que le végétarisme crée la pureté, qui t’amène à méditer ainsi, tu n’arrives à aucun moment de relaxation.

Donc, soyez honnêtes avec vous-mêmes, et agissez en conséquence.

Alors tu vas penser que cela voudrait dire que tu n’as plus de références, parce que tu ne sais plus ce qu’est bien et ce qu’est mal. De si pour une part on te dit que manger de la viande c’est mauvais et moi je te dis tout le contraire.

Tu vois dans quel piège tu es ?

Pourquoi penser que si c’est le noir qui crée les inconvénients, alors il faut tout de suite être vêtu de blanc. Pourquoi penser de manière conflictuelle. Ne pense plus de la sorte.

Ne tombe plus dans ce piège de la dualité.

Au lieu de penser au bien et au mal, apprend à discerner le vrai et le faux, le sommeil et l’éveil. Et dis-toi :

« Je suis peut-être encore une jeune âme qui a beaucoup de plaisir à manger une grillade, mais en même temps cela ne m’empêche pas de vouloir évoluer, alors comment je vais vivre cela ? »

Eh bien, la réponse est :

Prends ton plaisir, mange ta grillade, mais mange-la en ayant une conscience totale, sans être dans ce repère malsain qu’est la demi-conscience, où tu te mens à toi-même, où tu caches ton désire pour ton bifteck.

Vis l’expérience consciemment, totalement et pleinement, et tu verras que tu as tout le loisir d’être une jeune âme, d’aimer les plaisirs de manger de la viande et de t’y adonner, et aussi de te donner la liberté et le loisir de savoir et vouloir te développer spirituellement.

Cela n’est pas contradictoire.

Tu n’as pas besoin de te flageller et de te martyriser parce que pour une part tu veux être plus spirituel, mais pour l’autre part, tu ne peux pas encore laisser de manger de la viande.

Parce que là, tu ne vas pas vivre bien aucune de deux expériences :

Quand tu seras en train de faire ta méditation, tu ne pourras pas t’élever parque que tu seras complètement subjugué par le désir de la viande.

Et tu chercheras n’importe quelle excuse pour pouvoir satisfaire ton désir, mais tu le feras dans le mensonge ou avec un sentiment de culpabilité, et après tu seras en train de te donner des coups de fouet pour châtier ta débilité.

Alors arrête ce cirque. Arrête ce cercle vicieux ou la seule chose que tu fais est de plonger de plus en plus dans la fausse pensée et dans le sommeil.

Et apprend à assumer ta jeunesse de ton âme.

Regarde les jeunes, ils vont à l’école, ils étudient, et puis le soir, ils donnent libre cours à leur jeunesse, ils s’amusent en groupe, ou se réunissent à la fin de la semaine pour faire des choses folles et le lundi matin ils retournent à l’école.

Eh bien, administre de la même manière ta vie spirituelle.

Tu veux vivre ta vie spirituelle d’une manière très sérieuse, parce que tu vois que c’est comme cela que la vivent les grands sains et les grands initiés. Mais ces gens-là ont déjà atteint une grande maturité de conscience que toi tu n’as pas encore.

Alors au lieu de te mentir et de t’aigrir pour cela, accepte la jeunesse de ton âme et fais comme font les jeunes avec leurs études : une part de travail et une part de loisir.

Et fais de même avec ta vie spirituelle : une part de travail spirituel et une part de loisir profane.

Parce que de toutes façon tu vas finir par manger ta viande, mais tu vas le faire d’une manière mensongère ou te culpabilisant, et en agissant ainsi tu vas générer de basses vibrations qui vont être très nocives pour ta vie.

Tandis que si tu manges ta viande sans te culpabiliser, sans créer des mensonges dans ton cerveau, et en jouissant de l’expérience d’une manière saine et harmonieuse.

Alors tu sublimes l’expérience et tu génères des vibrations positives qui vont te permettre de progressivement élever ton aura, et ainsi d’une façon naturelle et sans te forcer, tu vas peu à peu laisser de manger de la viande, simplement parce que ton être sera pleinement rassasié par cette expérience et ayant évolué tu sentiras de moins en moins cette nécessité.

Tandis que si tu accomplis tes désirs d’une manière négative, tu n’évolues pas mais au contraire tu rétrocèdes dans ton évolution.

Vois-tu le cercle vicieux ?

J’espère te l’avoir d’écrit suffisamment en profondeur pour que tu t’aperçoives de ce qu’est la vie, les pièges, et pour que tu puisses mieux gérer ta vie.

Et là je te parle de la viande, mais la chose s’aplique aussi pour tous les autres plaisirs profanes de la vie que sont : le sexe, l’alcool, le tabac, etc.

Tu penses que les Maîtres vont t’en faire le reproche, qu’ils pensent que c’est mauvais, et que cela va te retarder dans ton évolution ?

Je t’assure qu’aucun d’eux ne va te le reprocher.

Tu vois, encore tu es en train d’élaborer de la dualité. Et en agissant ainsi c’est toi qui te retardes en étant ce faux personnage renfrogné qui croit qu’en se privant de ses plaisirs va devenir plus spirituel, mais qui en réalité agissant ainsi devient plus intolérant et frustré.

Alors accorde-toi le loisir de vivre tes désirs, mais fais-le d’une manière consciente, honnête et harmonieuse, pour que l’expérience soit constructive. »

(Conférence du 11.10.92)





2 commentaires:

  1. Bonjour Monsieur, je suis vraiment content de trouver des sites Internet comme le votre, l'on peut apprendre beaucoup de choses :), je suis végétarien depuis 2 ans mais parfois je mange des oeufs, vous pensez que les en manger ne serait-il pas bonne idée ? (chaque fois que je les en mange je me sens lourd et pour cette raison je ne mange pas souvent, mais je ne sais pas si je devrais arrêter)

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    1. L’œuf est un bon moyen d’ingérer les protéines que normalement apporte la viande, et tant que vous n’est pas totalement sûr que vous puissiez devenir complètement végétarien, il est important que vous obteniez les protéines à travers d’autres aliments.

      Et si vous sentez lourde la digestion des œufs, vous pouvez chercher un autre aliment qui contienne aussi des protéines. Le lait et ces variantes comme le fromage servent aussi, et j’ai écouté que le soya est très bon pour cela aussi.

      À vous de voir qu’est-ce qui vous fonctionne le mieux.

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